L U C Y,   0. Le Cinquième Elément, 2.
  
Une critique dénichée au hasard de mes pérégrinations sur le net :
" Lucy s'ouvre sur la présentation de l'héroïne éponyme, une jolie blonde pas très futée qui vit à Taiwan. On sait pas trop ce qu'elle fout là, si elle voyage, étudie ou a gagné un voyage au dos d'une boîte de raviolis. Toujours est-il qu'elle fait rapidement la connaissance d'un loquedu quelconque avec qui elle se met à fricoter. Un beau matin, le loquedu en question lui demande un tout petit service : remettre le contenu d'une valise à l'hôtel devant lequel ils se trouvent."
" Devant son refus, il finit par la menotter purement et simplement à la valise. « Ah ah, ricane-t-il, maintenant tu va devoir faire ce que je dis, parce que seul le destinataire de cette valise a la clé des menottes. »
  
 
 
" L'on se retrouve dans une université dans laquelle un professeur ‘achement connu (Samuel Norman qu'il s'appelle) fait une conférence sur la neurologie. Il s'agit soi-disant de la sommité mondiale en la matière mais, par décence, j'éviterai de vous résumer le contenu de sa conférence, je ne veux pas me retrouver avec l'Amicale des Neurologues aux fesses. Pour faire simple, Norman explique que hou là là, les humains n'utilisent que 10% de leurs cerveaux et que les dauphins, eux sont à 20%, ce qui leur a permis de développer un sonar intégré. Les questions fusent. Naïvement, je pensais que lesdites questions seraient du genre « Eeeeuh, si les dauphins utilisent le DOUBLE de leurs capacités cérébrales, pourquoi n'ont-ils pas bêtement asservi la Terre ? » ou bien « Les dauphins ? Ces sympathiques bestioles qui violent leurs femelles en réunion ? »
  
  
Une critique dénichée au hasard de mes pérégrinations sur le net :
" Lucy s'ouvre sur la présentation de l'héroïne éponyme, une jolie blonde pas très futée qui vit à Taiwan. On sait pas trop ce qu'elle fout là, si elle voyage, étudie ou a gagné un voyage au dos d'une boîte de raviolis. Toujours est-il qu'elle fait rapidement la connaissance d'un loquedu quelconque avec qui elle se met à fricoter. Un beau matin, le loquedu en question lui demande un tout petit service : remettre le contenu d'une valise à l'hôtel devant lequel ils se trouvent."
" Devant son refus, il finit par la menotter purement et simplement à la valise. « Ah ah, ricane-t-il, maintenant tu va devoir faire ce que je dis, parce que seul le destinataire de cette valise a la clé des menottes. »
" Les 
menottes ayant eu l'air d'être achetées à la Foir'fouille, tu te dis que
 Lucy va avoir le bon sens de se rendre dans le commissariat le plus 
proche, balancer Loquedu et leur emprunter une scie à métaux avant 
d'oublier cette mésaventure."
 " Bin non. Tu oublies qu'elle a dépassé son quota d'actions cohérentes qui était de un."" L'on se retrouve dans une université dans laquelle un professeur ‘achement connu (Samuel Norman qu'il s'appelle) fait une conférence sur la neurologie. Il s'agit soi-disant de la sommité mondiale en la matière mais, par décence, j'éviterai de vous résumer le contenu de sa conférence, je ne veux pas me retrouver avec l'Amicale des Neurologues aux fesses. Pour faire simple, Norman explique que hou là là, les humains n'utilisent que 10% de leurs cerveaux et que les dauphins, eux sont à 20%, ce qui leur a permis de développer un sonar intégré. Les questions fusent. Naïvement, je pensais que lesdites questions seraient du genre « Eeeeuh, si les dauphins utilisent le DOUBLE de leurs capacités cérébrales, pourquoi n'ont-ils pas bêtement asservi la Terre ? » ou bien « Les dauphins ? Ces sympathiques bestioles qui violent leurs femelles en réunion ? »
"..Après avoir génocidé un nombre 
impressionnant de figurants (mais on s'en fout, dans le 1er il n'y a que
 des touristes), Lucy arrive à l'hosto et récupère les sachets de 
drogue. Alors oui, elle bat encore des méchants mais bon, elle est 
invincible, les scènes de combat ont donc tout l'intérêt d'une 
déclaration d'impôts..."
 
"...C'est à ce moment que le « plan »
 de notre héroïne est dévoilé : elle va demander au professeur Samson de
 lui injecter toute la drogue restante afin d'atteindre son plein 
potentiel et de transmettre toute sa connaissance à l'humanité. Le tout 
pendant que des figurants français défendent le bâtiment contre des 
figurants taïwanais, dans une grande bataille de « qui joue le plus 
mal » ? Mention spéciale à Del Rio qui se prend une balle dans le cou et
 qui 8 secondes plus tard, n'arbore plus la moindre cicatrice. Chapeau 
la police française...""...plutôt que de chercher bêtement un sens à ce film, regardez la belle histoire d'amour entre le cadreur et Scarlett Johansson. Il y a plus de poésie dans quelques plans volés que dans toutes les recherches esthétisantes de Besson."
Toute la série ici : http://loliveetlesamovar.wordpress.com/2014/08/17/lucy-la-critique-bete-et-mechante/
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