Retour aux sources. Impression étrange de revenir sur ses pas et de ne jamais avoir quitté les trottoirs de Vitry. Un parfum d'adolescence et remontée des souvenirs d'une époque où tout nous était possible, nous les gamins de l'ailleurs.
Le trafic.
« Autour de moi j’ai vu le trafic de shit commencer.
Ceux qui avaient deux ou trois ans de plus n’allaient plus à l’école,
n’étaient plus en famille le dimanche. Ils disparaissaient, nous
intriguaient. Ils quittaient le cercle des potes et ça, c’est très dur à
expliquer. C’était le cas pour le grand frère de mon meilleur ami,
Mounir. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire