American Airlines

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Thierry Brun, Editions Kubik, American Airlines

mercredi 27 juillet 2016

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  Independence Day : Resurgence. Pour qui ce Retour ?



Attaque





" Si ce nouveau volet, qui débarque sur nos écrans vingt ans après le premier, permet de mesurer l’évolution technique du blockbuster au cours de cette période – évolution inscrite dans le récit, avec la modernisation accélérée de la Terre grâce à la réappropriation de la technologie alien –, il semble aussi entériner son incapacité à investir davantage un genre dont Emmerich fut le roi et qui innerve la plupart des blockbusters aujourd’hui, celui du destruction porn, où matières et corps, réduits à l’état de pixels, sont brassés dans un grand feu d’artifice numérique "

 Casser tout

 

" Le film semble comme condamné à passer après ses propres enfants, et se recroqueville donc, après une pachydermique séquence de destruction où un gigantesque vaisseau-tarentule atterrit sur une large partie du globe terrestre, sur un petit point dans le désert du Nevada : la fameuse zone 51 "

 

 

X

" On se souvient que le premier volet, déjà pas avare en métaphores phalliques (le rituel des cigares du personnage de Will Smith, la déferlante de fusils et de drapeaux, les missiles qui perforaient ultimement les adversaires), s’arcboutait autour de la destruction du « vaisseau-mère ». Ici, l’ennemi est de nouveau une figure féminine, une « reine » démoniaque. Mais le film ajoute un élément savoureux, qui vient perturber l’impression d’assister à une simple redite : peu avant le déferlement des extra-terrestres, un autre vaisseau apparaît, renfermant une petite boule blanche "

 

" Cette boule, on l’apprendra, est le dernier représentant de la seule espèce capable de mettre fin à la tyrannie destructrice des aliens. Dès lors, la reine, non contente de vouloir détruire la Terre en drainant son noyau, aura pour mission de s’emparer de son ennemi, terré dans la zone 51. Un noyau et une boule attaquée par une mère monstrueuse qui, en mourant, s’auto-accouchera de son armure protectrice dans un déferlement de matières bien entendu repoussantes : inutile d’expliciter quel effroi masculin, poussé à une telle exagération qu’il en devient cocasse, anime en sous-main le film.

Surpris

 

 

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