"Testé comme un antidépresseur dans les années 1950, le LSD était prescrit aux stars. Qui retrouvaient le sourire."
" Des desperate housewives, Hollywood en a connu bien avant Eva Longoria. Dans les années 1950, actrices de seconde zone, femmes d'acteurs ou filles de patrons de studio déprimaient ferme,
coincées entre obligations sociales, respect des convenances, mariages
décevants et carrières médiocres… La solution à ces vies cafardeuses ?
La prise de LSD, considéré à l'époque comme un médicament euphorisant,
et nouvelle panacée des psychothérapeutes. Un passionnant article du Vanity Fair daté du mois d'août (paru en juillet) raconte comment le LSD s'est infiltré en toute légalité dans la gentry hollywoodienne, bien avant qu'il ne soit considéré comme une drogue hippie et un dangereux psychotrope."
Comment le beau gosse a découvert les vertues du LSD : http://www.lesinrocks.com/2010/07/24/actualite/quand-hollywood-se-soignait-au-lsd-1127735/ et aussi ici : http://www.liberation.fr/societe/2013/03/15/des-essais-stupefiants_888911
"...Un psychiatre, Arthur Chandler, et un ancien radiologue devenu psy par amour du LSD, Mortimer Hartman, ouvrent le Psychiatric Institute of Beverly Hills. Ils s'assurent un approvisionnement régulier en LSD auprès du laboratoire Sandoz, afin de mener à bien un programme d'étude de cinq ans sur ce qu'ils appellent des "névrosés ordinaires”. C'est ce cabinet que fréquentent des patientes comme l'actrice de télévision Sally Brophy. Elle le conseille à de nombreuses amies, dont Betsy Drake, alors mariée à Cary Grant. .."
- Découvrir le nouveau roman de Thierry Brun. Editions Le Passage. La Ligne de Tir : Révélation.
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