Synopsis :
"John McClane, policier new-yorkais, est venu rejoindre sa femme Holly, dont il est séparé depuis plusieurs mois, pour les fêtes de Noël dans le secret espoir d'une réconciliation. Celle-ci est cadre dans une multinationale japonaise, la Nakatomi Corporation. Son patron, M. Takagi, donne une soirée en l'honneur de ses employés, à laquelle assiste McClane. Tandis qu'il s'isole pour téléphoner, un commando investit l'immeuble et coupe toutes les communications avec l'extérieur…"
"En 1988, John McTiernan met en scène un film, qui 25 ans après est toujours considéré comme l'un des plus grands film d'action. Bien que son exploitation en salles ne fut pas couronné du succès énorme que finira par rencontrer ce Piège de Cristal, il s'agit tout bonnement de l'un des fleurons d'un genre, une mécanique de précision implacable, véritable chef d'œuvre qui vit l'explosion à l'écran d'un comédien génial ainsi que l'expression de la perfection par un réalisateur au talent fou. "
leschroniquesdecliffhanger.com
"Un film qui parvient à être la quintessence même de l'action, grâce à une gestion de l'espace à nulle autre pareille et aussi par le mix entre un humour irrésistible et un scénario qui maîtrise l'art de la construction dramatique, jusqu'à s'ériger en modèle à suivre."
"Sans aucun doute, Die Hard fait partie de ces films quasi parfaits, qui, au-delà de leurs qualités formelles permettent aux spectateurs de ressentir un plaisir infini. Loin d'un cinéma d'action basique qui ne vaut que par la facilité de ses effets et des punchlines abêtissantes, Die Hard est tout le contraire. Un rythme génial, des répliques parfaites alternant un humour fin et toujours à propos et une action millimétrée qui ne laisse jamais place à l'improvisation et qui est toujours parfaitement intégrée au récit. Tout s'enchaine sans rupture de ton et sans que jamais on ne se pose la question de savoir comment se fait la progression narrative et qu'on ne remette en cause les choix de McTiernan."
http://www.filmosphere.com/movies/critique-piege-de-cristal-1988/
" ...Il développe un style inattendu pour du cinéma d'action populaire. Concrètement, il instaure un dialogue par l'image et privilégie quelque chose aujourd'hui bien trop négligé au cinéma : une vraie mise en place géographique. Ainsi, tout Piège de cristal est articulé autour de l'architecture du Nakatomi Plaza et les mouvements des personnages à l'intérieur. Pour que cela fonctionne et qu'à aucun moment le spectateur ne se pose la question de savoir où se trouvent les personnages à l'écran, il lui suffit de quelques mouvements dans l'introduction du film. "
"Un travelling arrière avec Bruce Willis de face pour définir l'espace du rez-de-chaussée et l'entrée du building, un plan à la steadicam qui suit Takagi avant son discours pour se focaliser sur le mouvement d'Holly McClane et le 30ème étage théâtre de l'action est parfaitement défini. Peu de dialogues si ce n'est une entrée en matière des répliques cinglantes qui vont parsemer l'ensemble du film (comme Predator) apportant à la fois une dose d'humour appréciables et des respirations dans le rythme haletant, une véritable élégance dans la mise en scène, et c'est parti pour plus de deux heures qui filent à toute allure."
" Piège de cristal c'est la victoire du type lambda, l'anti-héros par excellence qui n'avait rien demandé à personne et venait pour régler quelques problèmes personnels et qui se retrouve propulsé au rang de gloire. Le symbole est fort et s'impose bien sur comme une métaphore de l'american dream, mais va même au delà. On peut presque y voir une figure fantastique, mythologique, avec cette faculté à se sortir des pires situations, de combattre malgré le sang versé, quelque chose de presque biblique en un sens. Sauf que tout est contrebalancé par l'attitude géniale qu'impose Bruce Willis à son personnage."
" Des répliques inoubliables du célèbre « Yippee-ki-yay, motherfucker » au malicieux « Now I have a machine gun. Ho ho ho » toujours amenées par un dispositif de mise en scène précis, une attitude qui repousse la définition de la cool attitude et de vraies performances physiques. Tout cela joue un rôle précis dans le mécanisme d'horloger mis en place par John McTiernan qui joue volontiers avec les émotions du spectateur, se permet un gunfight urbain d'une virtuosité incroyable et qui se déroule dans l'espace confiné d'un bureau et rythme tout son film aux accords de plus en plus présents et reconnaissables de l'hymne à la joie de Beethoven. Film d'action, thriller, mais aussi huis clos et film de siège, Piège de cristal c'est du grand art d'un bout à l'autre, ce qu'on peut aujourd'hui appeler un véritable film matriciel ou une révolution du genre."
"John McClane, policier new-yorkais, est venu rejoindre sa femme Holly, dont il est séparé depuis plusieurs mois, pour les fêtes de Noël dans le secret espoir d'une réconciliation. Celle-ci est cadre dans une multinationale japonaise, la Nakatomi Corporation. Son patron, M. Takagi, donne une soirée en l'honneur de ses employés, à laquelle assiste McClane. Tandis qu'il s'isole pour téléphoner, un commando investit l'immeuble et coupe toutes les communications avec l'extérieur…"
"En 1988, John McTiernan met en scène un film, qui 25 ans après est toujours considéré comme l'un des plus grands film d'action. Bien que son exploitation en salles ne fut pas couronné du succès énorme que finira par rencontrer ce Piège de Cristal, il s'agit tout bonnement de l'un des fleurons d'un genre, une mécanique de précision implacable, véritable chef d'œuvre qui vit l'explosion à l'écran d'un comédien génial ainsi que l'expression de la perfection par un réalisateur au talent fou. "
leschroniquesdecliffhanger.com
"Un film qui parvient à être la quintessence même de l'action, grâce à une gestion de l'espace à nulle autre pareille et aussi par le mix entre un humour irrésistible et un scénario qui maîtrise l'art de la construction dramatique, jusqu'à s'ériger en modèle à suivre."
"Sans aucun doute, Die Hard fait partie de ces films quasi parfaits, qui, au-delà de leurs qualités formelles permettent aux spectateurs de ressentir un plaisir infini. Loin d'un cinéma d'action basique qui ne vaut que par la facilité de ses effets et des punchlines abêtissantes, Die Hard est tout le contraire. Un rythme génial, des répliques parfaites alternant un humour fin et toujours à propos et une action millimétrée qui ne laisse jamais place à l'improvisation et qui est toujours parfaitement intégrée au récit. Tout s'enchaine sans rupture de ton et sans que jamais on ne se pose la question de savoir comment se fait la progression narrative et qu'on ne remette en cause les choix de McTiernan."
http://www.filmosphere.com/movies/critique-piege-de-cristal-1988/
" ...Il développe un style inattendu pour du cinéma d'action populaire. Concrètement, il instaure un dialogue par l'image et privilégie quelque chose aujourd'hui bien trop négligé au cinéma : une vraie mise en place géographique. Ainsi, tout Piège de cristal est articulé autour de l'architecture du Nakatomi Plaza et les mouvements des personnages à l'intérieur. Pour que cela fonctionne et qu'à aucun moment le spectateur ne se pose la question de savoir où se trouvent les personnages à l'écran, il lui suffit de quelques mouvements dans l'introduction du film. "
"Un travelling arrière avec Bruce Willis de face pour définir l'espace du rez-de-chaussée et l'entrée du building, un plan à la steadicam qui suit Takagi avant son discours pour se focaliser sur le mouvement d'Holly McClane et le 30ème étage théâtre de l'action est parfaitement défini. Peu de dialogues si ce n'est une entrée en matière des répliques cinglantes qui vont parsemer l'ensemble du film (comme Predator) apportant à la fois une dose d'humour appréciables et des respirations dans le rythme haletant, une véritable élégance dans la mise en scène, et c'est parti pour plus de deux heures qui filent à toute allure."
" Piège de cristal c'est la victoire du type lambda, l'anti-héros par excellence qui n'avait rien demandé à personne et venait pour régler quelques problèmes personnels et qui se retrouve propulsé au rang de gloire. Le symbole est fort et s'impose bien sur comme une métaphore de l'american dream, mais va même au delà. On peut presque y voir une figure fantastique, mythologique, avec cette faculté à se sortir des pires situations, de combattre malgré le sang versé, quelque chose de presque biblique en un sens. Sauf que tout est contrebalancé par l'attitude géniale qu'impose Bruce Willis à son personnage."
" Des répliques inoubliables du célèbre « Yippee-ki-yay, motherfucker » au malicieux « Now I have a machine gun. Ho ho ho » toujours amenées par un dispositif de mise en scène précis, une attitude qui repousse la définition de la cool attitude et de vraies performances physiques. Tout cela joue un rôle précis dans le mécanisme d'horloger mis en place par John McTiernan qui joue volontiers avec les émotions du spectateur, se permet un gunfight urbain d'une virtuosité incroyable et qui se déroule dans l'espace confiné d'un bureau et rythme tout son film aux accords de plus en plus présents et reconnaissables de l'hymne à la joie de Beethoven. Film d'action, thriller, mais aussi huis clos et film de siège, Piège de cristal c'est du grand art d'un bout à l'autre, ce qu'on peut aujourd'hui appeler un véritable film matriciel ou une révolution du genre."
- Découvrir le nouveau roman de Thierry Brun. Editions Le Passage. La Ligne de Tir : Révélation.
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