C'est le 7ème titre de Nicolas d'Estienne d'Orves auquel je m'attaque et, comme les 6 fois précédentes, j'ai aimé retrouver son univers bien déjanté, exempt de politiquement correct, rocambolesque à souhait, avec en plus, cette fois, un très intéressant clin d'oeil à Jules Verne qui est un vrai plus. Comment étiqueter, puisque c'est notre grande habitude, presque une passion, ce nouveau roman ?
Sur la couverture de "l'enfant du premier matin", qui vient de paraître chez XO, on lit thriller, un terme générique bien insuffisant. Car, outre le rythme du thriller, d'Estienne d'Orves y ajoute le fantastique et l'ésotérisme pour un livre qui se lit comme avance l'intrigue : à 100 à l'heure.
Valentin est un garçonnet comme les autres. Ou presque. D'abord, parce qu'il est né le 11 septembre 2001. Ensuite parce que son père est mort accidentellement en 2010 et que ce père disparu semble lui avoir transmis une insatiable curiosité pour des sujets bien complexes pour un enfant de son âge. Ensuite, parce qu'il semble posséder des dons étranges, faire des cauchemars horribles et parler dans son sommeil agité une langue inconnue. Enfin parce qu'il est malade, atteint d'un mystérieux syndrome, une maladie orpheline que tout le monde ou presque semble ignorer.
Lucie, la maman de Valentin, a choisi, à la mort de son époux, de se retirer sur les hauteurs de Carpentras. Evidemment, elle se ronge les sangs devant son fils unique, ses douleurs, ses inquiétudes et ses aptitudes... Elle l'a donc, dès son installation en Provence, emmener consulter un pédopsychiatre, Laurent Soulès, qui semble bien avancer avec l'enfant...."
La suite ici : http://unpolar.hautetfort.com/archive/2011/11/18/l-enfant-du-premier-matin-de-nicolas-d-estienne-d-orves.html
- Découvrir le nouveau roman de Thierry Brun. Editions Le Passage. La Ligne de Tir : Révélation.
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